J’en ai parcouru des chemins de tes rêves à mes rêves.
Tu avais le cœur merveilleux mais labyrinthique. Et ton rêve le plus apparent, je ne l’ai pas vu, je ne l’ai pas saisi. J’étais aveugle. Mais nous avions tellement de rêves à nous deux que, main dans la main, nous les avons parcourus… Souvent déçus de les trouver irréalisables… Avons-nous manqué de foi ? Nous manquait-il quelque chose ? Alors nous rêvions encore. Et nos rêves sont devenus le promenoir des deux amants où nous marchions sans nous rendre compte du prix de ces instants qui ne reviendraient plus car tu n’es plus là. Deux gentils cœurs qui s’aimaient sans trop se le dire.
Art&Thérapie